Culture

Coloc: J'connais rien en musique ! J'même pas sur si un solfège s't'un affaire de musique ou si s't'un pays !
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Moi: S'pas un état américain?
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Yen aura pas d'facile !

L'omerta de la rue Victoria

Moi et coloc nous entendons bien la plupart du temps. Pas mal tout le temps en fait. Nous nous en allons après tout sur notre troisième année de collocation.

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Tout ça pour dire qu'on est plus meilleur que bin des couples. Sauf qu'on couche pas ensemble. Coloc a pas d'pénis.

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Ben. Yen a un y parait là. Mais j'l'ai jamais vu. Pis j'veux pas le voir. Et vice-versa.

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Mais là, j'm'éloigne du point que je voulais apporter. C'est difficile d'expliquer pourquoi on réussi a bien s'entendre. Mais d'après moi, c'est à cause de l'omerta. En fait, les deux omerta.

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Celle de la chambre d'à côté et celle de l'avant souper.

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Ça sonne étrange ? C'est le but. J'ai pas d'aptitude particulière à avoir l'air sain et simple.

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J'vous explique les omerta. Vous en penserez ce que vous voudrez, moi j'vous dit que ça marche. Plus que ça. Ça marche en criss.

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La première omerta, soit celle de la chambre d'à côté, fut convenu lors de notre première année de collocation, avant même que le Coloc n'arrive dans mon très jet-set 4½ de la rue Louis-Pasteur, Trois-Rivières Beach.

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TOUT ce qui se passe dans la chambre d'à côté RESTE dans la chambre d'à côté.

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Après tout, une réputation de sale guidoune cheap est si facilement montée, et s'aurait été poche un peu que Coloc défasse ma réputation à vie juste parce qu'il avait un matin le goût de bitcher un peu sur moi parce que j'avais pas changé le sac de lait. (Je sais que c'est plus mon genre à moi de faire des trucs du genre mais bon..eh... CHUT!)

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Cette règle s'est finalement avérée pratiques à quelques reprises. Si vous me croyez pas, demandez à Coloc de vous parler de sa dernière brosse au vin blanc. ( On a pas le droit de dire ce qui se passe dans la chambre d'à côté, mais on peut donner des indices.. gna gna gna ! )

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Ce qui nous amène à la deuxième omerta de la rue Victoria, l'omerta de l'avant souper. Celui-ci, plus insidieux, s'est installé de lui même au cours des mois.

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Je fais de l'hypoglycémie. J'ai donc, lorsque la faim me prend, quelques légères sautes d'humeur.

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Coloc aussi.

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Imaginez vous préparer le souper, tous les deux sur les dents.

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Après quelques expériences plutôt traumatisante ou chacun répond bête a l'autre, cherche à lui faire pogner les nerfs, ou s'amuse à être particulièrement mesquin dans le simple but de faire hurler l'autre, nous avons simplement arrêté de parler.

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Durant la demi-heure avant de se mettre à table, une mouche pourrait entendre un moucheron voler.

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Du coup, grâce aux omerta, la paix règne dans notre demeure.

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Je vous le dit, le truc, c'est les omerta. Et si jamais Coloc rompt l'omerta, j'irai clouer un chat mort sur sa porte de chambre.

Prémonition

C'était dans un épisode de Charmed je crois. Ou un autre feuilleton télé dans le même style.

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Yavait un gars, un peu freak, qui avait de drôles de pouvoirs. Le plus particulier, celui qui était le centre de l'intrigue dans cet époside là, m'est revenu à l'esprit ce matin.

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Lorsqu'il écrivait quelque chose, son récit se réalisait.

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Vous avez lu la fiction que j'ai écrit sur le Réceptionniste ?

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Hier soir j'étais chez moi, avec un de mes amis. On avaient planifiés de se faire une petite bouffe relax, quelques drinks, et de sortir clubber ensuite. Chouchou était en route, la soirée avançait bien, tout était cool et simple.

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Le réceptionniste me laisse un message sur MSN. Il veut savoir si je sors ce soir. Si oui, il viendrait faire un tour, prendre un verre.

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Nous sommes sorti, il était avec nous. Soirée cool, beat trippant, bons amis. On s'est bien amusés.

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À la fin de soirée, il avait manqué son bus. Il est venu chez moi.

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Nous avons dormi ensemble.

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Par contre, nous n'avons rien fait. Manque d'intérêt ? Fatigue ? Gêne ?

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Je ne saurais vous dire.

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Tout ce que je sais, c'est que Chouchou, qui suit le blog assidûment, avait la gueule à terre. Il m'a appelé la bloggeuse de bonne aventure. Il avait l'impression d'être dans ce genre d'émission bidon avec un nom comme "Les Insolences Absurdes". Où sont les caméras ?

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C'est drôle comment la vie tourne parfois.

Un Peu de Déco

Bon, allez voir le vidéo. Jusqu'au bout. Je vous donne quelques explications par la suite.

http://www.youtube.com/watch?v=4zBmR7dpYCU

Surréaliste? Peut-être. Mais c'est réel! Un bloggeur dont le nom m'échappe l'a retracée. Elle réside à Baie St-Paul ou elle a encore son commerce. Elle partage celui-ci avec la quincaillerie de son mari semblerait-t-il.

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Je vais devoir aller faire un tour. Je veux voir cette femme de mes yeux !

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Par contre, amis bloggeurs, j'ai une mission pour vous.

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Moi, je voudrais retrouver l'adolescent à qui était destinée cette chambre. Il est probablement adulte maintenant, à moins qu'il se soit suicidé entre temps. Si vous le connaissez, mettez le en contact avec moi, je suis trop curieux d'entendre son témoignage !

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En attendant, je vous dit Booonchouuuuuuur. Chouchou s'en vient, nous allons aller nous asseoir à ma petite table de style un peu café qui porte à la confidence ! :P

Ma première fois à Trois

J'ai pas l'air souvent, mais je suis un Jeune Homme prudent. C'est pourquoi j'ai attendu de voir ce que la Waitress Insatiable et le Maiken allaient faire avant d'écrire quelque chose.
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C'est que la ligne a été franchi. En effet, nous sommes passés hier soir du virtuel à la réalité. Je ne vous raconterai pas toute la soirée dans le détail, je crois que ce serait déplacé. Mais disons que nous avons passé des heures à discuter, alors que je croyais que ce ne serait qu'un petit casual drink de fin d'après-midi.
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On va remettre ça moi j'dis. Si la Waitress à survécu à sa journée de travail.
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En attendant Maiken, toute mes condoléances pour Gertrude. Que tu le veuilles ou non, ELLE EST M-O-R-T-E !

Les recherches

En suivant la mode de Chocolyane, voici quelques recherches qui ont menées à mon blog dernièrement...

Jeune Homme
Bon.. est évidente celle là vous m'direz !
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véritables amis vrais
J'crois qu'il cherche des amis. Des vrai là. Des vrai de vrai de vrai de vrai genre!
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détournement de mineur. On est juste amies
Hem.. J'croyais pas que mon blog deviendrait une référence dans le détournement. J'vais commencer à avoir peur de la police là !
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est-ce possible de retomber amoureux de la même personne ?
J'vais te confier un secret mon coeur... T'as p't'être genre JAMA arrêté d'l'aimer ?!?! He seigneur.. !
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Bar gay trois-rivieres
Yen avait un. C'était plate. Yen a plus, le bar est fermé. Est-ce que ça va réouvrir ? Dans l'optique ou le proprio s'est pendu, j'crois pas qu'il va développer d'autres projets avant un bout. God que j'suis macabre !
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Poupée boutchou yeux
j'me demande vraiment ce qu'il cherchait dans google au fait. Non mais, ça rime à quoi ?
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Baiser une vieille dans le cul
Quand les recherches google sont plus vulgaire que moi là.. !

Les Yeux dans les Yeux.

Tous ces hommes.. Ce ne sont que des acteurs. Ils ne sont que les symptômes.

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Je suis parti vers le bar dans le coin de 22h00. Peut-être un peu avant. Je ne voulais pas être en retard. Nous nous étions donné rendez-vous vers 22h15.

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He oui, moi et le Réceptionniste, nous avons finalement décidé d'aller au bar. On ne se débarrasse pas aussi facilement d'un mauvais plis.

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Je suis arrivé avant lui, off course.

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J'arrive sur la terrasse. Ya un gars que je connais de vu. Il est encore tôt, ya pas grand monde, alors je commence à parler avec lui. On fait ce qu'on peut avec ce qu'on a.

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Nous étions installé sur des tabourets, à une table, devant l'entrée de la-dite terrasse. Lorsque le réceptionniste est arrivé, j'avais déjà une bière dans le corps. Stress oblige.

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Il s'est avancé vers moi, visiblement nerveux. Il m'a embrassé sur les deux joues, les yeux dans les yeux. Sa chaleur rassurante m'englobait dans cette nuit encore fraîche d'avril.

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Il est allé se chercher une bière. Puis il est venu me chercher moi.

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Nous sommes allés nous installer plus loin sur la terrasse, avec quelque uns de ses amis. Mais moi je ne voyais que lui.

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Les yeux dans les yeux, nous avons parlés. D'abord un peu, ensuite beaucoup. Et puis je suis allé chercher une autre bière. Quand je suis revenu, quelqu'un avait pris ma chaise.

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Il m'a offert ses genoux. Je me suis installé sur lui, tout contre lui. Les yeux dans les yeux.

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Nous sommes entrés à l'intérieur, pour voir le show. Les yeux dans les yeux.

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J'ai passé une heure à regarder les queens se démener pour donner un bon spectacle, à l'abri de ses bras puissants, tout contre lui. Lorsque je tournais la tête pour lui parler, nous étions les yeux dans les yeux. Son souffle caressait ma peau, son corps suivait le mien, quasi-fusion de deux êtres qui se découvrent.

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Nous sommes retournés à l'extérieur ensuite, main dans la main, yeux dans le yeux. Nous avons fumés quelques cigarettes, pris quelques bières, son âme caressant la mienne, rêves et phantasmes étant réalité, pour ce soir.

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Nous avons dansés, corps contre corps, sans jamais nous perdre. Mes yeux suivaient les siens, son regard ne me quittait jamais.

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Et puis nous sommes parti. Il avait manqué son bus. Je lui ai gracieusement offert de l'héberger. Il a accepté.

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Nous avons marchés ensemble, son corps près du mien, ses yeux dans mes yeux. Nous ne faisions plus qu'un.

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Nous sommes entrés chez moi, je l'ai installé sur le divan, le temps de faire un peu d'ordre dans le bordel de ma chambre. J'aurais été gêné de l'introduire dans une telle jungle.

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Je suis sorti de ma chambre, ses yeux fixés sur moi m'ont tétanisé. Moi qui aime rêver, j'avais le rêve dans mon salon, et il me fixait.

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Il m'a suivi dans la chambre, un peu gêné. Je l'étais moi aussi.

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Toutes lumières fermés, nous nous sommes dévêtus chacun de notre coté du lit que nous allions partager, l'espace d'une nuit.

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Nous nous sommes étendus, lui à gauche, moi à droite.

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toutes les lumières éteintes, nous étions encore les yeux dans les yeux. Je ne pouvais le voir, mais je pouvais encore le sentir. Sentir son regard sur moi, son regard contre le mien. Ses yeux qui me touchaient, m'enlaçaient, me caressaient.

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Doucement, nos corps se sont rejoints. Doucement, il a posé ses grandes mains sur moi. Doucement il a fait courir ses longs doigts sur ma peau. Les yeux dans les yeux.

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Il n'est pas de mot pour décrire les sensations. Il n'y avait que nous qui comptait. Pas lui. Pas moi. Nous...

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Je me suis endormi, les doigts dans ses cheveux sombres, ses mains contre mon corps. Sa tête sur ma tête, ma tête contre son coeur. Lui et moi n'étions plus qu'un. Lui et moi n'étions plus rien. Nous n'étions que le moment présent. Nous avons dormi les yeux dans les yeux.

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Tout ceci n'est que phantasme et fiction. Moi et le réceptionniste ne nous sommes pas touchés ce soir. Nous n'avons que discutés, nous avons ris, nous nous sommes amusés. Nous ne seront qu'amis, je ne l'intéresse pas.

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Je n'ai pas de regret, pas d'amertume.

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Je voulais juste voir si mon point de vue était bon. Il l'est. Dans une histoire, il n'y a que deux éléments. Le récit, et celui qui le raconte.

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Mon blog est bâti autour de ce fait que je considère comme étant le seul élément réel ici. Il y a moi, et il y a ce que je vis.

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Ce soir, j'ai fait un post totalement déqualibré. Je n'y ai mis que celui qui raconte, et pratiquement rien du récit.

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Parfois je ne met que le récit, parfois je ne met que moi. C'est toujours sincère, parfois peu représentatif.

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En bout de ligne, tout ceci n'est qu'introspection. Écrire me permet de me découvrir et de me comprendre.

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Tous ces hommes... Ce ne sont que des acteurs, ce sont des symptômes.

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Le réceptionniste, Yann, le Barman, Pepi, The Cute One... Ce ne sont pas LUI. Aucun d'eux n'est l'amour de ma vie. Aucun d'eux n'est le bon. Ce ne sont que des acteurs, au mieux, que des symptômes, honnêtement.

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God.. je déteste être lucide !

Friendship

On aime nos amis. Ils nous le rendent bien.
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C'est pas récent. Mais j'ai hésité avant d'en parler.
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Un ami à fait ce texte pour moi. Vous pouvez le lire ici.
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Moi aussi Minimon. Moi aussi.

I'm sorry, I can't be perfect

Lui : Viens me voir. J'suis pris toute la nuit là, j'm'emmerde. Ça me ferait plaisir de te voir!
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Moi: Bin là.. J'sais pas. J'ai travaillé là. Pis c'est un drôle de contexte tu trouves pas ?
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Lui: C'est sur mais bon. Si tu veux venir, c'est cool. J'ai des amis qui le font souvent, ça dérange pas.
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Moi: Bin j'vais y penser.
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Vous aurez compris que le réceptioniste dont je vous ai parlé ya pas long m'a invité à aller passer la nuit avec lui. Je sais pas honnêtement. Je suis un peu gêné. Pis c'est weird comme invitation. Mais bon.. j'ai tellement rien a faire et je m'emmerde tellement que j'en viens presque à considérer la proposition..
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Pis de toute façon, le vrai problème, c'est que je veux trop. J'veux trop rencontrer, quelqu'un, j'veux trop un chum, j'veux trop avancer. J'veux trop forcer les choses. J'veux trop rêver avec trois fois rien, puis m'imaginer plein de trucs avec n'importe qui. J'le connais pas, je sais rien de lui, rien de son intérêt.
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Et je crois pas que personne ici puisse me conforter dans mon point de vue ou me contredire. Tout ce que vous connaissez des hommes que je rencontre, c'est ce que je vous en dit. Et ce que je vous dit, ce ne sont pas des faits, ce sont des impressions. Vous ne serez jamais présent, observateur impartial d'une situation.
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Est-ce que je vais y aller? Je sais pas. Sûrement pas.

7 péchés capitaux

Petit test basé sur vos penchants pour les 7 péchés capitaux.. à rendre avec un grain d'sel .
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D’après les statistiques, vous êtes dans la moyenne. N’ayez donc pas honte de vos vices…
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Vos points: 60 sur 154
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Résultat Global:39 %
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La paresse: 45 %
La gourmandise: 60 %
L'avarice: 18 %
L'orgueil: 58 %
la luxure: 81 %
l'envie: 6 %
La colère: 43 %
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Alors on remarquera que je suis gourmand, orgueilleux et paresseux mais surtout.. Un sale pervers ! Rock On !
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Comme si j'avais b'soin d'un test pour me dire ça !
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Si vous ne l'avez pas encore fait et que vous avez 10 minutes à perdre, cliquez sur ces symboles que j'utilise jamais :£±¬²³¬¢¼

Le Réceptioniste

Cette histoire débute il y a plusieurs mois, pas très longtemps après mon arrivée dans la Vieille Capitale.

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En fait, je ne me souviens plus vraiment du début. Mais voilà, J'vous dit ce qui est arrivé, selon moi.

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J'ai du lui parler d'abord sur le net. Oui, plus j'y pense, plus ça fait du sens. Un parmi tant d'autre en sommes.

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Intéressant à jaser, intéressant à regarder. Sans plus..

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Et puis, on a du parler de nos emplois respectifs j'imagine. Ça a du venir dans les premières conversations. Moi j'étais serveur, lui réceptionniste.

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Les deux pôles de l'industrie de l'hôtellerie. Deux mondes qui doivent travailler ensemble, mais qui ne se comprennent pas.

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Mais bon, je vous parlerai peut-être un autre jour de cette dualité.

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Et puis, nous avons du parler de l'endroit ou on travaillaient, pas longtemps après.

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J'vous ai dit que le restaurant ou j'offrais mes services était situé dans un hôtel ? Vous me voyez venir?

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Bin oui, le gars était réceptionniste à l'hôtel ou je travaillais.

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Je l'ai croisé quelques fois par la suite, lorsque j'avais à négocier avec l'hôtel au sujet d'une facture litigieuse ou d'un morceau de vaisselle quelconque oublié dans un couloir.

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Il semblait surtout me trouver pas mal à cheval sur les principes, et pas mal paquet de nerfs. Faut dire que quand je suis rendu à traverser à la réception de l'hôtel plutôt que d'appeler, c'est que j'suis rendu pas mal au bout d'mes moyens d'habitude. Nevermind.

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On a tranquillement cessés de se parler. On se croisaient de temps en temps au bar, on se saluaient, sans plus. On se croisaient à l'hôtel, on se saluaient, sans plus.

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Je l'ai croisé à quelques reprises au bar depuis 3 semaines. Le beau temps revient, les gens sortent plus j'imagine.

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La première fois il a été fidèle à lui-même, peut-être un peu plus jasant. Mais rien de particulier.

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Et puis c'est allé en augmentant. La gentillesse je veux dire.

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C'est là que j'ai compris. Peut-être, je dis bien peut-être, que c'est un garçon très gêné ? Allez savoir. et puis la question me travaillait pas assez pour que je me la pose sérieusement.

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Il était la samedi dernier. J'étais tranquillement installé dehors avec quelques amis, à fumer une clope, bouteille à la main quand je l'ai vu s'approcher entre les tables occupées, ces minuscules plateaux de bois surchargés de bouteilles, verres, cendriers et autre trucs qui potentiellement dommageables.

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Ce garçon de plus de 6", très mince, aux grandes mains et aux doigts effilés. Avec ce visage volontaire, presque dur voir, sculptural. Avec ces lèvres pleines toujours un peu entrouvertes, invitantes presque. Avec ces yeux bleus un peu fou, qui regardent tout et rien à la fois, ce regard qui me rend parfois perplexe. Avec ces cheveux plus noirs que la nuit ou l'on imagine faire disparaître ses doigts.

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Résumé : Je venais de me rendre compte qu'il était A) Très beau. B) Qu'il s'en venait sur moi.

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On a parlé un peu. C'est encore méthodique parfois. On sent qu'il parle prudemment, qu'il pèse ses mots, qu'il observe les réactions.

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Je me suis levé. Il m'a pris dans ses bras.

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"Réchauffe-moi, j'ai froid".

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Pauvre toi, t'es deux fois grand comme moi.

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J'ai quand même passé les 15 dernières minutes de la soirée installé sur ses genoux, sa tête contre ma tête, son souffle dans mon cou. Sa respiration que j'avais l'impression de sentir contrôlée, comme s'il me caressait volontairement de son souffle. Vraiment rushant.

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J'ai refusé son invitation de fin de soirée à aller prendre un dernier verre chez lui avec ses amis. Depuis quelques temps je me méfie des invitations de 3h00 du matin ou il y a des amis.

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Non, j'déconne.

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Mais on s'est reparlés cette semaine. On a parlé de peut-être faire quelque chose ensemble. Mais pas dans un bar. Dans l'vrai monde.

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Je suis septique. Mais j'vous en reparlerai peut-être... Ou peut-être pas.

I touch myself..

J'me souviens plus trop qui chantais cette chanson... "And when I think about you I touch myself..".. Blondie je crois. Oui, c'est ça.

J'vous ai déjà parlé de ces chansons qui me viennent spontanément à l'esprit en certaines occasions ? He bien c'est celle là qui a commencée à jouer dans ma tête lorsque j'ai ouvert la fenêtre explorer avec mon idée de post.

C'est que voyez vous, je crois que je suis en train de perdre la raison.

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D'habitude, le Jeune Homme ne rêve pas. Ou très peu. Et même quand il rêve, ses souvenirs sont très ténus au réveil.

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Semblerait que ce soit en parti dû à l'état de manque (de sommeil) dont j'ai souffert pendant des années, résultat d'une hygiène de vie boiteuse. Les études, le travail, les bars, il restait pas beaucoup d'heures pour dormir.

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Les rêves sont importants pour se reposer. Mon corps s'est donc mis à enfiler des images sans queues ni têtes à la vitesse de l'éclair durant mes nuits, images dont je ne garde pratiquement jamais de souvenir.

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Sauf que là...

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Sauf que là, depuis une semaine ou deux environ, le Jeune Homme passe ses nuits à rêver. Des rêves très clairs, dont il se souvient dans le moindre détail à son éveil.

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Jusque là c'est pas dramatique vous m'direz. P't'être ben.

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Sauf que j'fais juste des osti d'rêves de cul. Pas des p'tits trucs érotiques sans importance là. Des rêves à faire pâlir d'envie n'importe quel producteur de porno suédois 5X. Des trucs qui probablement même pas humainement réalisable. Entk, à l'oeil, j'peux pas plier dans toutes ces directions là quand j'suis éveillé !

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Mais là, le plus gênant, c'est que ça met toujours en scène des gens que je connais. Bon on s'entend j'ai pas encore rêvé que Coloc me prenait dans une folle levrette la tête dans la sécheuse Maytag. N'empêche. C'est quand même des gens que je croise au bar de temps en temps. Ou des gens avec qui j'ai travaillé. Ou ce mek avec qui j'ai fait le début de mon secondaire.

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Suis-je rendu un sale pervers?

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Est-ce que c'est le printemps qui me fait pas ?

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Coloc ajoute-il des hormones dans ma boisson?

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Entk, si quelqu'un à une trace d'explication je suis très ouvert à toute suggestion.

P.S.

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Ça commence à se refléter sur mon vocabulaire. Dans ce post j'ai utilisé les termes I touch myself, viennent, état de manque, enfiler, queues, cul, érotiques, porno, levrette, pervers, hormones et Maytag.

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Ce sont tous des termes sexuels ou à connotation fortement sexuelle.

Milkshake

Coeurs sensibles s'abstenir..
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Ça donne le gout de se clancher un bon Milkshake han? :D

Petit Guide Culinaire

La, c'est assez !

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Le Jeune Homme est bin tanné! Ça fait des années que mes amis, des gens que j'connais pratiquement pas, mon frère, MA MÈRE VIARGE me pose deux questions:

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Combien d'temps c'est bon au frigidaire, pis a combien dans l'four.

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J'leur répond la même osti d'affaire depuis des années.

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Une semaine dans le frigidaire.

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350 ou 400 dans l'four dépend d'comment t'as faim.

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C'est UNIVERSEL. Avec ça t'es sur de te démarder TOUT LE TEMPS.

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Là, je vous l'ai écrit.

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On le répète ensemble voir, une DERNIÈRE FOIS.

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UNE SEMAINE DANS LE FRIGIDAIRE, 350 OU 400 DANS L'FOUR.

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Asteur, achalez moi pu JAMA avec ça !

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Modit sacrement d'osti.

l'Histoire de Chouchou

Je vous parle de mon ami Chouchou régulièrement, depuis que j'ai commencé à blogger. Toujours en bien. Après tout, c'est un de mes ami les plus fidèle.

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Ce soir, laissez moi vous raconter l'histoire de cette amitié particulière. Après tout, s'en est une qui n'était pas prévue.

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Chouchou ne m'aimait pas, au début. J'étais jeune, con, arrogant. Son chum de l'époque ne croyait pas en l'amitié entre gays. Dans sa tête, deux gays qui sont amis, couchent ensemble. C'est tellement pas le cas. Mais bon !

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Toujours est-il que je connais chouchou depuis des années. 5 ou 6 ans. Mais de vue. Notre amitié est du, en grande parti, à the cute one. C'est lui qui, le premier, à établi un contact avec Chouchou. Chouchou qui venait de laisser son conjoint des sept dernières années.

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C'étais durant le temps des fêtes, il y a déjà trois ans. Quand j'étais avec the cute one. Chouchou avait laissé son copain pour ti-fred. Ils sont venu chez moi. Nous avons soupé ensemble.

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Et puis, drôle d'adon, Chouchou et Ti-Fred ont pris un appartement dans le bloc à côté du mien. J'étais content. Je commençais à le connaître, et nous nous entendions bien. Sans plus.

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La tempête à frappée. The cute one est parti. Il m'a laissé seul, désemparé. Vulnérable.

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Chouchou était à côté. J'ai couru vers lui.

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Sa porte fût toujours ouverte. À cette époque, Chouchou était sur le chômage. Il avait tout le temps voulu pour aider ses amis. Et il fût là pour moi comme personne d'autre n'aurait pu l'être.

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Il a suivi les tribulations de ma fin de couple avec attention, sans jugement, avec un support remarquable. Il avait bien son point de vue, qui s'est avéré juste avec le temps. Tout était fini. Mais il s'est abstenu de l'exprimer. Il m'a laissé le comprendre par moi même.

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Un mois durant, à tous les soirs, j'ai été pleurer ma peine dans son salon.

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Et ce fut son tour. Nous sortions tous les deux de relations importantes et.. difficile à gérer. C'est mon humble avis.

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Notre amitié est un concours de circonstances. Mais c'est surtout une chance que nous avons eu.

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Nous avons vécu de grands moments. L'incendie de la Station, le bar gay de Trois-Rivières auquel nous tenions tellement.

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L'incendie de mon appart, et le support de Chouchou dans cette épreuve.

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Nos séparations respectives.

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Mon départ pour Québec. Mes aventures avec Pepi.

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Notre premier Bal en Blanc.

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Nous en avons vécu pas mal ensemble, pour une amitié si jeune. Ya bien d'autres trucs dont je vous ai jamais parlé. Je vous raconterai un jour. Peut-être.

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Mais vous savez quoi ?

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Moi et Chouchou, avant tout, c'est une histoire de confiance mutuelle. C'est une histoire ou la peur du jugement n'existe pas. C'est le respect qui débute où fini la compréhension de l'autre.

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Il est chez moi ce soir, sur l'ordi de Coloc. À quelques pouces. Et je suis content qu'il soit là. Qu'on se perde pas parce que je suis parti. Que notre amitié continue d'évoluer. Que lorsque je me sens mal, je sais qu'il est là, même s'il est absent. Je sais, et ça me suffit.

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Moi et Chouchou, c'est la définition même de l'amitié.

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L'amitié, c'est l'espoir. L'espoir, c'est réconfortant.

Tilapia, Veau, Vin, Rhum et Cie

J'ai une drôle d'habitude dans la vie moi. Quand j'm'emmerde, j'mange. Ça, c'est régulier. Plusieurs le font. J'suis chanceux, j'ai jamais pris de poids à cause de mon vice.

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En fait, pour être totalement honnête, je suis un vrai paquet de nerfs. Le Jeune Homme ne fait pas tout a fait 5"7, et pèse environ 115 lbs. Tout trempe ou sec, ya pas de différence. Et il est content. Il arrive rarement à conserver un poids aussi respectable. Quand il a perdu son emploi, il en pesait 105. La dernière fois qu'il s'est séparé, il est descendu a 95.

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Le Jeune Homme a suivi un cours de nutrition lors de sa formation en Gestion d'Établissement Hôtelier. Il a fait son menu, comme tous le monde, pour faire son profil alimentaire. C'est simple. Vous écrivez tout ce que vous mangez et tout ce que vous buvez pendant une semaine. Ensuite vous calculez le nombre de calories ingurgitée par jour, vous faite une moyenne, des analyse, bla bla bla. Moi j'mange le double de ce qu'une personne normale mange dans une journée, pour tout dire.

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Je sais. Un jour mon système va ralentir et je vais payer pour ça. Pas besoin de venir me le dire !

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Mais bon, jusque là mon vice semble bien commun. Sauf que... Sauf que quand j'm'emmerde, j'suis pas du genre "chaudière de crème glacée sur le divan". Le Jeune Homme aime cuisiner.

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Hier, moi et Waitress Insatiable avons fait une reprise des Mercredis Vin Blanc. Vu qu'elle travaillait mercredi. Et puis Coloc se joignait à nous. Alors le Jeune Homme est allé à l'épicerie.

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Qu'est-ce qu'on a mangé ?

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-Des avocats farcis

-Filet de tilapia à la poire William et à la girofle, sauce à l'estragon.

-Veau au rhum brun, champignon et dijon, gratiné au cheddar.

-pois mange-tout sauce au beurre.

J'me trouve un peu extrême pour un repas de semaine. Mais bon, faut me comprendre. Le Jeune Homme a recommencé à chercher un emploi, parce qu'il tourne en rond dans la maison.

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Ho! Et si certain se demandent pourquoi le post de 2h51 AM, c'est simple. Moi Waitress et un ami sommes allé prendre un verre au bar après. On voulaient aller au Scanner, mais en arrivant yavait plein de punks avec des cheveux de drôles de couleur, des studs, pis des berger allemands. On a passé droit.

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Le Yann y était. On s'est parlé un peu. Son ami m'a dit qu'il fréquentait déjà quelqu'un depuis trois mois. Oups... Yavait "oublié" de m'le dire.

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J'ai rien dit. Mais ma vengeance sera terrible ... (petit rire démoniaque).

Sans Titre

Il est 2h51 du matin et..
..
Tu m'fais chier.

Un ours !

Le Jeune Homme est sorti au bar hier. As usual ! Les mercredi Karaoké, c'est un classique entre moi et Dorris. La Waitress Insatiable va bien se joindre à nous, avec les mercredis Vin blanc. Et je devrai parfois sacrifier mon traditionnel Gerry Boulet pour ces mercredi ou moi et Waitress auront des convives. On va pas tous les traîner là toujours !

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Et puis, allez savoir pourquoi, j'ai d'la misère a imaginer le Maiken dans un Karaoké Gay.

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J'suis pas ici pour vous parler de ça, mais de ma fin de soirée.

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Lorsque moi et Dorris avons quitté le bar à une heure raisonnable (3h10), nous avons pris la direction de nos demeures respectives. Je marche avec lui jusqu'à son appart, qui est sur mon chemin. Ensuite je continue sur St-Jean, pis un p'tit bout sur Chemin St-Foy, pour prendre l'escalier Victoria.

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Pour les ceusses qui connaissent pas, j'vous fait le topo de l'endroit. L'escalier victoria est au bout d'un petit trottoir, à coté d'une sorte de descente en bois qui fait office de promenade l'été. Et qui est fermé l'hiver.

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Yavait un homme sur la promenade, de l'autre côté de la barrière. Celle ou c'est marqué "Fermé pour l'hiver".

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Hum. J'ai trouvé ça suspect.

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Puisque j'avais pris une ou deux consommation (J'étais saoûl comme un porc), j'ai eu la brillante idée de stopper direct en haut des escaliers, et de le fixer.

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C'était un ours. À prononcer comme moi et mes amis ont le dit ( IN OURE).

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Bon. Un ours, c'est un homme usually dans la quarantaine, bien portant, avec plein d'poil partout. Pis une grosse barbe. Le genre de monde qui aime le cuir (On repassera pour l'objectivité, j'en ai rien a foutre.).

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L'ours me fait un grand sourire. Je lui fait un grand air bête. J'étais bin trop pakté pour sourire.

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J'me demandais ce qu'il foutait là. Dans mon esprit embrumé par l'alcool, c'était marqué : Fermé pour l'hiver. C'était clair, pis simple.

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Mais là, yavait l'ours qui me fixait. Pis qui me faisait des grands sourires.

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C'est là que l'illumination du St-Esprit est descendu sur moi au même moment que mon regard sur sa zoune a demi-molle qu'il shakait avec l'énergie du désespoir.

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POUAH.

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MAUDIT VIEUX COCHON PERVERS QUI S'CROSSE DEVANT UN P'TIT GARS SAOUL PIS INNOÇENT!

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J'ai fait ce que je devais faire, en bon citoyen qui à a coeur l'hygiène sociale de mon quartier. Après tout, yaurait pu avoir des enfants pour voir ça ! (Bon, je sais, à cette heure là, yen a pas d'enfant. Mais.. mais.. CHUT !)

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J'ai crié WUUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! pis j'suis parti a courir din marches de l'escalier victoria.

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En courant. En gueulant. Comme un vrai malade.

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Entk.

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J'espère qu'il a perdu son érection s'ti.

Rencontre Blog!

Ha que c'est plaisant quand on a des réponses rapide à nos questions !

Les P'tits Bloggeurs !

Je lis quelques blogs à tous les jour. Pas toujours les mêmes, mais j'ai mes préférés. Et puis, j'ai fait une constatation.
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Ya pas beaucoup de blogs de la Vieille Capitale. Ya le mien. Et puis la Waitress Insatiable. Et puis le Maiken. Et puis Caro.
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Mais. Il y en a surment beaucoup d'autres non?
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Peut-être même assez pour faire un truc semblable aux Yullblog non?
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Alors je me dis. Manifestez vous, gens de Québec. Si ça vous intéresse. Moi je suis pas fermé a l'idée d'un truc une fois de temps en temps dans un p'tit bar.
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En fait, je suis toujours ouvert à l'idée d'aller dans un bar. Soyons honnêtes !
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D'ailleurs ce soir, moi et Dorris, on s'en va dans un bar. And the again. On va aller chanter des belles tounes de Karaoké.
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Non. On chante pas. Mais on s'y amuse quand même.
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Et puis... La terrasse du bar est montée. J'rêve déjà de m'y installer, une bière dans une main, une clope dans l'autre, vestige des 90's. L'époque ou fumer était encore bien vu !
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Je vous embrasse tous!

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P.S.
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D'où sortez vous? Vous être deux fois plus nombreux à venir ici qu'il y a 3 semaines ! Effectivement, vous êtes presque une centaine par jour à venir faire votre tour sur mon petit bout de Web!
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Dha Mère Indigne! Je suis sur le bord de devenir aussi populaire que vous l'étiez. Aujourd'hui la Vieille Capitale, demain le monde !

Consternation.

Vous savez mon amour de la liberté d'expression. Vous savez que je n'ai rien contre ce qui choque, que je prends la majorité des choses dites "mal" avec un gros grain de sel.

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Mais.

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Je suis consterné.

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En furetant sur le net, je suis tombé sur un forum de discussion concernant la décriminalisation de l'homosexualité au Cameroun. Certains d'entre vous se souviendront peut-être qu'en 2006, en plein débat, plusieurs grands journaux nationaux avaient publiés des listes de personnes soupçonnées d'homosexualité.

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Dégeulasse. Tout simplement. Mais parfois, faut passer au travers de trucs répugnants pour que règnent la justice. Parfois faut en baver un coup pour l'amélioration de la société. Parfois, faut prendre les coups pour les éviter aux générations futur.

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C'était un geste enfantin, puéril, et mesquin. Je me souviens d'avoir été horrifié d'une telle action. La loi était en débat, n'avait pas été modifiée. Ces gens furent emprisonnés, battus, torturés.

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La loi 347 de ce pays prévoyait en effet à cette époque une peine d'emprisonnement de 6 mois à 5 ans, jummelé à de fortes amendes.

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Mais revenont en au forum.

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Moi qui avait été informé. Moi au ai lu les nouvelles. Moi qui sait pour les lois, l'emprisonnement. Moi qui sait l'oppression.

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Moi qui est empli d'empathie, de sympathie même, pour cette cause.

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Moi je suis tombé sur le cul en lisant ce forum.

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J'étais ébahi.

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Pas de la haine. Ça, je connais déjà. Mais ce qui me laisse totalement baba, de fois en fois, c'est cette ignorance crasse, cette incompréhesion volontaire, ce dogme de la normalité inhumain.

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Je vous laisse sur quelques extraits. Je n'ai pas de mots pour dire à quel point je suis écoeuré.

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"Lorsque vous serez fatigué de %%% avec les personnes appartenant à votre sexe, commencez avec les animaux et le reste. Les saintes écritures ne font que se realiser. Je suis sur que l'épidemie qui remplacera le sida sera plus dévastatrice. "

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"[...] Jusqu'à la possession du démon de la pédérastie, papa St Michel m'a tout dit... Après 2 ans je suis revenu de nouveau, comme un hétéro,mais avec beaucoup de pénitence (jeune, prière sans cesse, comportement dans la société etc...). [...] à propos,après un interview à cet ange,il me fait savoir que tous ceux-là seront brulés, qu'il n'y a pas d'autres solutions, cependant ceux qui vont appeler Jesus auront la chance. L'homosexualité n'est pas naturel, c'est le Satan qui fait souffrir la créature de Dieu."

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"C'est abbérant de constater de nos jours que des gens se livrent à l'homosexualité, un phénomène venu des pays occidentaux. Je suis heureux de voir des groupes homophobes se constituer et se développer pour freiner l'avancée de ce phénomène dit de société. Si certains l'ignorent encore, chaque mois, deux homosexuels au moins au Cameroun sont lynchés et lapidés s'ils sont soupçonnés ou pris en flagrant délit. C'est aussi le lieu de mettre en garde tous ceux des homosexuels pris en flagrant délit du sort qui leur sera réservé. Nous ssommes au courant de tous les homosexuels qui sont en fuite à l'étranger, qu'ils sachent que leur retour au Cameroun sera lourde de conséquence, car ils ont rendu notre environnement social mal propre et ils devront en faire les frais. Je demande même que tous les pédés qui se trouvent au Cameroun soient tués comme l'a été un tout récemment au quartier pépanda à douala. Il a été brûlé vif ainsi que son compagnon, une action soutenue par le voisinnage. Cet exemple devrait servir à tous les pédés, car le Cameroun n'a pas besoin de l'homosexualité, mais d'un developpement économique. Je suis entrain de mettre sur pied un mouvement illégal pour traquer tous les homosexuels pris ou non en flagrant délit, ils seront brûlés vifs dans les artères et rues de douala ou yaoundé parce que ce sont les lieux où se phénomène prend de l'ampleur. Qu'on ne nous parle pas des droits de l'homme à ce sujet, l'homosexualité est une tare sociale et nous devons la bannir à tout prix. Les homosexuiels n'ont pas leur place dans notre cité. Tout le monde sait que le code pénal dans ses articles 74 et 347 bis condamnent l'homosexualité, donc est bel et bien criminalisée au Cameroun. Pourquoi donc tolérer cette forme de sexualité venue de l'occident? Nous feront tout ce qui est à notre pouvoir pour que cesse l'homosxualité dans notre pays. Je voudrais le réitérer, tous les homosexuels seront éliminés par les mouvements homophobes que nous mettons sur pied. Nous allons fonctionner sur le modèle fasciste ou nazi pour mettre fin à ce phénomène. Nous avons dans notre action, le soutien de 85% de camerounais interrogés à cet effet. A bas les homosexuels au Cameroun.."

Des pages et des pages de ce genre de commentaires.

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Vous savez quoi ? Vive le Québec libre !

Sex Story, Quand St-Foy s'en Mêle !

Ça a jamais semblé être une idée géniale. Je l'admet d'office. Par contre, ça semblait une pas pire idée sur le coup. Et puis, il était quand même passé 3h00 du matin han! C'est pas là que le cerveau est le plus actif. Et j'avais le goût de baiser bon. Pas de faire l'amour. Juste de baiser. Le côté physique de la chose. Celui qui fait du bien physiquement. Un bien primaire, mais ho combien présent parfois.

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J'entends déjà certains se scandaliser. "Moi les one night j'suis contre ça!".

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He bin... T'as le droit.

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Pas moi!

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Je considère les one night comme un mal nécessaire. À défault de mieux, on prend ce qu'on peut. Avec parcimonie. Et on tente de vivre avec, tout simplement.

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Sauf que là, j'me suis un peu laissé emporter. Et j'me suis un peu faite pogner. Juste un peu.

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Le gars avait l'air pas pire sur le net. Yétait bin fin, pas trop laid.

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J'voulais pas qui vienne ici, j'voulais pas réveiller Coloc. Quand même, nos chambres sont une à côté de l'autre.

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Mais il restait à St-Foy. Et j'ai pas d'auto.

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Et lui de me proposer de venir me chercher.

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Dans ma tête roule cette rengaine: "Mauvaise idée, mauvaise idée, mauvaise idée." .

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Basta le gros bon sens, on avisera plus tard que j'me dis. J'ai bien fait, il est rien arrivé de fâcheux. La preuve, le Jeune Homme écrit ce post de chez lui, avec un bon café, et non sous la menace, dans un salon quelconque de St-Foy, avec une main brisée.

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Fiou.

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Sauf que...

...Sauf qu'avant de partir, l'autre mek a dit au Jeune Homme sur le net : " Ya de quoi qui faut que je te dise avant..."

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He caliss. Kessé qui va m'sortir ?!?

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"J'suis pas tout seul, ya un ami avec moi".

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Un amiiiiiii ?? De kessé un ami ?!

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Un trip à trois.

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Hin hin.. mmmph.

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Why not criss? J'vais sûrement pas tripper, être full gêné, pas en parler a personne (Vous êtes bien une centaine à me lire, mais ça compte pas!), pis le regretter un peu mais... on a qu'une vie, c'est qu'une expérience, ou whatever you want pour soulager ma conscience !

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Alors il est venu me chercher. Gentil, assez Good Looking. Il me dit qu'il est nerveux dans la voiture, pendant qu'on monte a St-Foy. Il a jamais fait ça.

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Fort de mon expérience, j'ai adopté une attitude mi-paternelle, mi-geisha.

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Fais toi en pas. C'est bien, même si c'est pas le nirvana que beaucoup décrivent. C'est juste l'après.

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L'après ?

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Bin wais. Après! tu fais quoi après ? On va pas tous dormi collés là ! Ni aller prendre une douche ! C'est pas une baise qui pourrait développer sur une relation de confiance et de respect bordel ! Après t'as juste hâte de crisser ton camp! (Petit message subtil de : Moi j'colle pas là après).

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Et puis, pour pimenter le truc, rendu sur Henry IV, le gars m'en a lâché une bonne.

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"Ya de quoi qui faut que je te dise".

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Pendant qu'une large gamme d'éventualités plus variée que tout ce que vous pouvez décemment imaginer défile dans ma tête à une vitesse folle, je tourne mes yeux vers lui et lui demande calmement : "Quoi ?".

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"Bin... Moi j'étais plus ou moins d'accord, mais mon "ami" (huhum) a invité un autre personne."

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HUUUUUUU HUM !

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Caliss.

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On a continué pareil. The show must go on pis, on a qu'une vie, faut faire des expériences, et whatever you want...and the again!.

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Là, je me lancerai pas dans un compte érotique de ma fin de nuit. Ce serait dur sur le coeur de certaines âmes sensibles puis... Coloc lit tout ça quand même!

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Alors les deux heures suivantes sont censurées.

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Disons seulement que le gars qui est passé me prendre était bien. Son ami vraiment très ordinaire. Le quatrième participant un peu coincé, mais foutrement cute et gentil.

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Le quatrième est parti vers les 6h15, alors moi aussi j'ai suivi, escorté de mon chauffeur.

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On s'est donné des becs sur les joues dans le stationnement. C'est la tradition chez les fefis tsé. Le p'tit cute, après m'avoir embrassé, m'a lâché un beau "Chu pas habitué les becs" suivi d'un p'tit rire nerveux.

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Écoute chose.. t'avais 3 graines dans yeule ya pas une demi heure.. Fais pas l'effarouchée!

"En Couple"

Paraitrait qu'il y a un autre statut que celui de "Célibataire".
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C'est ce que j'ai entendu dire. Ils lui ont même donné un nom à ce statut.
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On appellerait les gens qui ne sont pas "Célibataires" par le terme de "En couple".
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Mais ce ne sont que des rumeurs. Et puis, elles sont pas faciles à confirmer ces rumeurs.
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C'est que, voyez vous, les gens "En Couple" disparaissent.
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Si si! Je vous le jure!
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Ils disparaissent des bars. Ils disparaissent des activités entre amis. Ils disparaissent même du net!
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Alors, comment valider la véracité de ces rumeurs?
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Certains me disent qu'ils disparaissent parce qu'ils font des choses "De Couple". Je trouve cette affirmation plutôt nébuleuse.
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C'est quoi des "Choses de Couple" ?
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Plusieurs hypothèses sont avancées. Aucune n'est vérifiable.
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Moi je le dis, ça sens la machination.
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Peut-être que le couple c'est une machination du gouvernement fédéral. Ça leur ressemblerait bien.
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Ou alors ça vient de Mario Dumont. Lui aussi il est du genre à prévoir des projets plutôt obscurs.
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Remarquez, ça a p't'être un p'tit quelque chose de religieux. Comme une secte.
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Un truc ou les gens se mettent nus et se touchent.
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Oui, ça ferait du sens.
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Peu importe.
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Les amis, il faut mettre fin à cette machiavélique machination mondiale qu'est "Le couple".
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Ne nous laissons pas abattre. Soyons forts!
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Ensemble nous vaincrons!

Greenwood 2007

Une amie a moi fait de petits vidéos humoristiques. Faut aimer l'absurde et le léger, mais moi j'les trouve crampant.
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Alors je vous en place quelques uns !
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On à même des bloopers! Quand on est en voiture !
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Et puis, pour sa crédibilité d'artiste. Greenwood peut aussi faire du sérieux. Et de qualité !
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Et le tout est fait avec une webcam, à la maison.
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Imaginez quand elle s'y met avec de l'équipement!
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Elle travaille a contract, pour ceux que ça pourrait intéresser, contactez moi !

Mon amende est de..

Un p'tit truc que j'ai recu par e-mail. Je l'ai rempli pour le plaisir alors, si le coeur vous en dit, faites le aussi et laissez moi savoir vos résultats!

Il suffit de calculer le montant total en $ auquel vous arrivez. Voyons voir si vous êtes délinquants!

1- Fumer du pot -- 10$

2- Fait de l'acide (buvard,...) -- 5$

3- Déjà fait l'amour à l'Église -- 25$

4- Vous réveillez le lendemain matin ne sachant pas qui est la personne à vos côtés -- 40$

5- A déjà fait l'amour avec quelqu'un sur MySpace -- 25$

6- A fait l'amour pour de l'argent -- 100$

7- A fait l'amour avec un Puerto Ricain -- 20$

8- A déjà vandaliser quelque chose -- 20$

9- A fait l'amour sur le lit de ses parents -- 10$

10- A déjà battu quelqu'un -- 20$

11- Vous êtes faite sauter -- 10$

12- Vous habiller comme le sexe opposer -- 10$

13- Vous faire donner le l'argent pour vous déshabiller -- 25$

14- Tomber en amour avec un danseur ou danseuse nu(e) -- 20$

15- Embrasser quelqu'un donc vous ignoriez le nom -- 10$

16- A déjà flirter quelqu'un du même sexe au travail -- 15$

17- Déjà conduit ivre -- 20$

18- A déjà travailler ivre -- 50$

19- A déjà utiliser des jouets sexuels -- 30$

20- Vous saouler, perdre connaissance et ne pas se souvenir de la nuit d'avant -- 20$

21- Vous baignez nu -- 5$

22- A fait l'amour dans une piscine -- 20$

23- Embrasser quelqu'un du même sexe -- 10$

24- A fait l'amour avec quelqu'un du même sexe -- 20$

25- A tromper un de vos conjoint(e)s -- 10$

26- Vous masturbez -- 10$

27- A tromper votre conjoint(e) avec quelqu'un de sa famille ou un de ses amis -- 20$

28- Fait de l'oral -- 5$

29- Fait un «69» -- 5$

30- Fait/reçu du sexe oral dans une auto qui se déplaçait -- 25$

31- Voler quelque chose -- 10$

32- Fait l'amour avec quelqu'un dans une prison -- 25$

33- Fait un film porno maison -- 15$

34- Fait un trip à 3 -- 50$

35- A fait l'amour dans la nature -- 20$

36- A déjà été dans la même pièce que quelqu'un qui faisait l'amour --25$

37- A voler quelque chose de plus de cent dollars -- 20$

38- A fait l'amour avec quelqu'un de plus de 10 ans que vous -- 20$

39- A fait l'amour avec quelqu'un sous 21 ans et vous aviez plus de 27 ans -- 25$

40- A déjà été en amour avec deux personnes ou plus en même temps -- 50$

41- A déjà dit à quelqu'un que vous l'aimiez mais ce n'était pas vrai -- 25$

42- A fait du nudisme -- 5$

43- A fait du nudisme en plein jour -- 15$

44- Vous êtes fait arrêter par la police -- 5$

45- Passer du temps en prison -- 15$

46- A déjà uriner dans une piscine -- 50$

47- Jouer à la bouteille -- 5$

48- A fait quelque chose que vous regrettez -- 20$

49- A fait l'amour avec votre meilleur(e) ami(e) -- 20$

50- A fait l'amour avec un de vos collègues de travail -- 25$

51- A fait l'amour anal -- 80$

52- A menti à votre conjoint(e) -- 5$

53-A menti à votre conjoint(e) en disant que le sexe était bon -- 25$

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Moi j'ai tapé pour 790 $. C'est le record à battre !

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L'ami qui me l'a envoyé en avait pour 710 $ et je me disait :"pouhaha la charrue!" Finalement..

Allez, c'Est stupide, alors on va bien rire!

Bonne chance pour me battre !

Fin de soirée

Bon.

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Il est 3h46 du matin.

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Je suis un peu pakté.

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Je suis un peu gelé.

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Je suis vraiment pas un exemple à suivre. Et je suis vraiment pas en état de faire un post.

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J'ai même pas le goût d'en faire un... Mais en même temps, j'sais que je dormirai pas avant d'le faire.

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Alors j'vous en pris. Prenez pas ce qui suit pour du cash.

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J'suis déçu d'moi même. Sincèrement. Et ça m'fait peur.

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J'ai l'impression qu'a 22 ans, j'sais plus comment m'envoler. Comment juste tripper. J'sais plus comment aimer. J'sais plus quoi faire.

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Yann. Yann c'est pas LE mek. Yann c'est le prétexte.

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Le prétexte à l'amour.

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J'le sais bien qu'il m'aime pas, qu'il m'aimera jamais. J'le sais bien que tout ce qu'il vient chercher chez moi, c'est une rédemption de ses péché. J'le sais bien que tout ce que je suis pour lui, c'est le pardon dont il a besoin pour avancer. J'le sais bien que j'suis rien sinon un symbole. J'le sais bien que j'suis pas une personne, juste une situation.

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J'le sais. Mais j'veux pas le savoir.

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Mais bon. Reste un point. Moi, j'veux pas être une situation. Moi, j'veux pas être un prétexte. Moi j'veux être une personne.

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Il était là ce soir. Of course.

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J'le croise une fois en septembre depuis que je suis à Québec. On se parle sur le net en avril. je le vois 4 fois de suite par la suite. La vie est drôlement faite.

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Yann, j'suis pas amoureux d'lui. Mais ya un problème quand même avec tout ça.

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Ya le malaise de tout ce qui a été.

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Pas qu'il soit parti avec Phil ya plusieurs années. Ça, c'est secondaire à mon esprit.

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Mais...

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Mais.

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Mais Yann est intéressant de par ce qu'il est, indépendemment de tout.

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Mais Yann me fait peur parce que je crains qu'il ne se serve de moi pour régler de vieilles histoires avec lui-même.

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Mais Yann incarne un peu de mon passé, parce que lui et moi avons partagés les mêmes choses, la même personne.

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Mais Yann est trop comme moi. Nous partageons tout les deux le même défunt amour véritable. Il est ami avec plusieurs de mes amis de Québec.

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Mais Yann. Je me vois en lui.

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Il est plein de préjugés que j'ai abattu avec les années.

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Il est plein des craintes que j'ai encore.

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Il est plein de l'ambition que j'ai perdu.

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Plein de la suffisance que je n'ai plus besoin d'avoir.

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Plein des peurs que j'ai dépassées. Et de celles que j'ai encore.

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J'ai peur de lui... Parce que j'ai peur de moi.

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C'est viscéral. Ce n'est pas exprimable. Je ne saurait vous dire. J'ai peur de lui, parce que j'ai peur de moi. Ça ne s'exprime pas. Aucun mot n'est assez fort pour exprimer la crainte de sois-même.

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Le Jeune Homme est terrifié. Et pour rien du tout. Il sait qu'il n'ira pas au bout de cette histoire.

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Si Yann était courageux, il me porterait.

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Il a aussi peur que moi... Mais moins de moyen de faire semblant, pour pallier le manque.

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Nous n'iront pas loin.

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Nous allons échouer sur la berge là, maintenant.

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Je vais apprendre des choses de ça. Pas tout de suite. Plus tard.

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Merci de me lire. Les amis comme les inconnus. J'vais finir par connaître certains de vous. Comme le Maiken qui va peut-être se joindre aux Mercredis Vin Blanc.

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Tu sais Maiken, ça me fait peur un peu.

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J'en dit beaucoup ici. Ce que j'ai l'air ici, c'est pas moi. Et j'ai peur de perdre mon image. Quand je vais finir par te voir, j'vais être intimidé.

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Mais tu t'en rendras pas compte. J'suis bon encore à ça.

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Faire semblant.

In my head

Le Jeune Homme fume tranquillement une clope dehors, sur le bord de la rue. Il faut comprendre, Coloc étant un non-fumeur intransigeant, l'appart est lui aussi non-fumeur. Je sais, je suis trop bon seigneur.. Que voulez vous!

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Une petite fille s'est approchée de moi, un regard inquisiteur et volontaire fixé sur moi.

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-Monsieur..?

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-Oui ?

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-Est-ce que c'est vrai que t'es un homo? Ma Maman dit que t'en est un.

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Moment de perplexité. How the fuck en sont elles venues à parler de moi ?

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-Oui, c'est vrai.

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C'est là qu'est venu le call que j'aurais jamais vu venir.

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-He bien ma maman, elle dit que vu que t'es un homo, tu vas aller brûler en enfer.

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J'ai même pas réfléchi. La réplique est sorti toute seule.

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-Ta maman a tord. En fait c'est elle qui ira en enfer pour proférer des mensonges aussi horribles ma belle.

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Et le tout avec mon plus beau sourire Colgate Total.

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Et elle est partie en pleurant. Pauvre chouette.

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La vie est parfois cruelle !

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Ceci n'est que fiction, n'étant pas un évènement réel. Par soucis d'honnêteté, je devais vous mentionner qu'il est composé de toute pièces in my head.

If Looks Could Kill

Moi et Coloc on est sorti ce soir.

Mais bon. On a été très sage. Très, très, très sage.

Il est 1h44 et je suis assis devant mon écran. Ça vous dit comment on est de bons p'tits garçons?

Et puis, je dois vous l'avouer, ya une raison.

Ce soir yavait Crevette, un ami de l'époque qu'on avaient perdu depuis quelques années. C'était un adon, vraiment rien de planifié. On a passé la soirée avec lui quand même. Yé drôle le p'tit, même si des fois yé un peu.. hem.. spécial.

Mais c'est pas de lui dont je veux vous causer. En fait, indirectement.

C'est que Crevette connaît un gars au bar. Depuis quelques semaines. Vraiment rien, ya pas d'intérêt aucun. Niet. Nada.

Le gars, c'est une tache. Une tache en lettres capitales. Une TACHE.

Une criss de tache.

Nous étions trois. Moi, Coloc adoré, et Crevette. Nous dansions. Avec la tache qui nous tournaient autour.

Trois visages ou c'est écrit en lettres capitales.

GO AWAY.

Un moment donné, moi et Coloc on s'est tannés.

On a décidé de mettre a profit cette technique que nous avons affinée avec les années. Le regard qui tue. Celui qui envoie au loin les indésirables. Celui qui exprime toute l'aversion et le mépris du monde et même encore pire que ça.

Nous savions que nous avions affaire à une bête particulièrement coriace. Nous avons donc attaqué en toute puissance de tir. On voulaient pas prendre la chance de juste le blesser mais qu'il soit encore vivant, gisant entre nous, sur le dancefloor. On voulaient pas être obligés de l'achever de quelques remarques assassines à peine voilées pour mettre la bête définitivement à mort.

Moi et coloc on s'éloigne, on laisse une ouverture dans le cercle formé de nos trois corps possédés par le rythme.

Ça pris 5 secondes. L'animal avait repéré la brèche et s'y engouffrait à la vitesse d'un "thor"que tu sors de l'étable pour la première fois de sa vie, lorsque le printemps est assez avancé pour ne pas que le bovidé ne se brise une patte en s'enlisant dans la gadoue.

Lorsqu'il a été entre moi et coloc, en moyen de nous voir tous les deux, nous avons pris le pécore en tir croisé.

Il a a peine fait une embardée. Comme si nous avions tenté d'abattre un chevreuil avec un gun a palette.

Nous avons refermé le cercle, l'excluant. Il a a peine sourcillé. Nous étions complètement bouche bée.

Mais vous savez c'est la chasse au gros gibier. C'est toujours au moment ou l'on croit que la bête ne tombera jamais qu'elle trébuche contre un arbre et s'étale de tout son long.

Il a eu l'audace de mettre sa main sur mon épaule.

Ma tête a pivotée, mon regard a crocheté le sien.

Il a sursauté. Je n'ai pas faibli.

Il est parti. Nous ne l'avons plus revu.

Vous pouvez me dire que je suis cruel, c'est votre point de vue, votre droit, votre opinion.

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Moi j'appelle ça l'instinct de survie.