If I was invisible...Wait, I already am !

20.2.07

Loneliness

Aujourd'hui, pas de vulgarité. Ou si peu. Pas d'histoire de cruise, de baise. Pas de mépris, de cynisme, de sarcasme.



Aujourd'hui on fait un peu différent. On met un peu plus de sois, un peu moins de la carapace acide acquise au fil des années.


Loneliness...



Dans quelques jours, je fêterai mes deux ans de célibat. Aujourd'hui j'ai décidé de partager avec vous cette histoire qui m'a permise d'apprendre bien des choses, d'en comprendre d'autre et d'en renier plusieurs. Avec ou sans raison.



Once upon a time, au pays magique (Yeah right !) , un jeune homme roulait sa bosse, tranquillement, au milieu des fêtes, des études, du travail et des obligations. Un tout jeune homme de 19 ans, avec une vie bien remplie, mais un peu vide par la même occasion.


Au restaurant ou il travaillait, tout les mardi, se réunissait un groupe de jeunes gens, plus ou moins de son age. Ils étaient beaux, vivants et drôles. Que de belles soirées il passa a les servir, ces clients si plaisants et si payants.



Un des meneur de ce petit groupe, appellons le the cute one, en était devenu son fantasme. Un fantasme duquel il n'aurait jamais osé entreprendre la quête. De ceux qui restent fantasme, ever after, car ils ne sont que plaisant, mais surment pas réalisable, même dans nos rêves les plus fou.



Il aimait a contempler the cute one, avec sa haute taille, son sourire à mille dollars, son affabilité.


Il essaya même de le présenter a une ami.



The cute one était (Musique tragique)...

Hétérosexuel.



Et puis un jour, comme par magie, il était au bar.



The cute one avait changé de camp, cette nuit là.



Vous imaginez le bonheur du jeune homme? Alors vous faites fausse route. Lorsque celui-ci découvri la vérité, il était trop tard. The cute one avait déjà rencontré l'amour sur son chemin. Semblait-il.



L'hiver pris fin, le printemps s'installa et avec lui, les 20 ans du jeune homme.



Aux derniers jours de mai, the cute one laissait ce qu'il avait cru être son amour, devenant libre comme l'air. Entre temps, le jeune homme avait appris à le connaître.. et malheur pour lui, à le désirer réellement.



Et un soir leurs deux reflets, dans le miroir taché des toilettes d'un bar, s'embrassèrent.



Malgré la désaprobation de plusieurs, malgré la découverte du coté humain de the cute one, le jeune homme s'engagea à coeur ouvert dans cette relation, se donnant complètement au fil des mois.



Plus le temps passait, plus son amour augmentait. Moins il ne voulait voir le mal là ou il se dressait.



L'amour rend aveugle. Dit-on.



Après bien des épreuves, le jeune homme croyait que tout était fini, que tout irait simplement. Qu'il ne restait que l'amour.



Et aux derniers jours de Février, sans un seul mot d'avertissement, the cute one était parti.



L'univers du jeune homme s'écroula et dans son infini sagesse, ou sa grande stupidité, il n'arriva pas a en vouloir à personne. Ni à lui même, ni a the cute one, ni à celui qui le lui avait ravi.



Cependant, l'épreuve laissa ses traces, dangeureux poison à la lente action.



Souvenez vous toujours de ceci. L'amour, c'est l'océan. Si vous passez proche de vous noyer, resautez tout de suite à l'eau. Plus vous attendrez, plus vous aurez peur, jusqu'à n'en plus savoir nager...

6 commentaires:

Anonyme a dit…

T'es content là? Je braille comme une anorexique forcée de mettre du sel sur son morceau de céleri hebdomadaire... Gros câlins bel enfant de la Capitale. J'pense à toi ^^

Jeune Homme a dit…

Juste a lire le commentaire, je sais qui l'a laissé. J'ai écris cette histoire un peu pour toi, même sije sais que tu la connais déjà. PArfois on a besoin de savoir que peu importe l'histoire, on fini tous un peu à la même place :)

Anonyme a dit…

sad...:(
Dans ces temps là il faut se dire que certaines personnes n'ont jamais connu ou ne connaitrons carréement jamais l'amour et la peine d'amour...(car l'un va rarement sans l'autre). Même si chui plutôt un heartbreaker, jcompathie sincèrement ;)

Anonyme a dit…

j'étais jeune con immature et surtout tres peureux...

Jeune Homme a dit…

T'as fait ce que tu pouvais, comme moi. Ce texte là c'Est pas un reproche, c'Est juste... juste une histoire. Juste moi.

Jeune Homme a dit…

Alors on étaient deux..