If I was invisible...Wait, I already am !

21.2.07

Avec grâce...

Ma journée d'aujourd'hui c'est déroulée, je crois, sous le signe de la grâce.

Je me suis éveiller vers 8h30 (what the fuck ?) pour me rendre compte que j'avais été tiré des bras de morphée par un délicat bouchon de mucus dans ma gorge, résultat combiné d'un début de grippe et de mon statut de fumeur de ployes cheaps. Tousse comme un défoncé, fini bin éveillé. Que faire à cette heure?

Je me lève, enfile voluptueusement mon pantalon de pyjama, et je quitte ma chambre avec lascivité, découvrant après avoir parcouru la moitié du salon que mes boxers d'hier étaient resté dans une des jambes du-dit pantalon et qu'ils me dévisagent depuis le coin de la salle-à-manger.

Pour continuer cette journée sous le signe de la grâce, je me prépare un délicat café au lait. Le soupoudre le comptoir del a cuisine de poudre de café, fait friser le lait chaud jusque sous les armoires et passe a un cheveux de m'arracher le globe occulaire droit avec une cuiller a thé.

9h30. On toque à la porte. J'ouvre, image même de la quintessence dans mon pantalon carreauté, mon chandail long a motif indescriptible et ma chevelure d'inspiration "nid d'oiseau lors d'un ouragan".

C'est le voisin. Sa journée semble se dérouler sous le même signe que moi. Alors qu'il fesait son jogging, il s'est embarré dehors. Son corps mince, moulé dans le licra au niveau des jambes et indéfini au niveau du torse dans son manteau datant de son secondaire 3, lui donne une allure spectaculaire. Les lunettes de soleil style "yeux-de-mouche" ne font qu'ajouter la note finale au tableau déjà époustouflant. Il a un cours dans une heure, et semble peu enjoué par la perspective de s'y présenter sans ses notes, vêtu des vêtements qu'il porte présentement.

C'est vêtu d'une paire de jeans sale et de vieux souliers percés que je ferai sauter, 1/2 heure plus tard, la serrure de sa porte de derrière. Les hommes et les anges se sonviendront pendant des siècles et des siècles de cette fresque digne de Renoir, ou du grand peintre de votre choix. Peut-être nos descendant reproduiront ils cette scène cabalistique ou j'arrachai la poignée de la porte en vargeant dessus à grand coup de marteau pendant que Voisin poussait des cris d'offraie...

Il n'était pas 10h00 du matin. Imaginez le reste de la journée..

Tout ce qu'on peut faire avec unp eu de grâce....

6 commentaires:

Valérie-Ann a dit…

Je t'ai déjà dit que j'adore trop ta façon d'écrire? Même une journée qui va mal est vraiment marrante à lire avec toi! C'est... inspirant! Merci!

Maiken a dit…

Si ça c'est une journée de grâce, moi jveux trop que tu nous raconte une journée pas-de-classe! :P

Anonyme a dit…

Tu le sais ben JH. Des aventure trépidantes comme ça ça n'arrive qu'à nous. À quand la défonce du dit voisin alors qu'il oublie les clefs de lui-même? Enlève-lui au moins les lunettes avant.
PS: Finalement fait lui aussi enlever son manteau... :P

Jeune Homme a dit…

Val: Merci du compliment :)

Maiken, faut saisir tous le sarcasme dansm es propos :P

Anonyme: Vous êtes qui vous ?

Maiken a dit…

dans les miens aussi jeune homme :P

Jeune Homme a dit…

j'en prend bonne note ;)